Lin et sétacolor. Dim.: 6,5x4,5cm.

Tadaaaaaaaam! Et j'ai enfin réussi à trouver un cadre déjà tout fait qui s'adapte parfaitement, haaa! J'espère que tu es satisfait du résultat! Et bon anniversaire aussi à Cécile, car vous ne le savez pas, mais c'est à cause d'elle que j'ai choisi ce nom un rien bizarre et barbare. Oui, elle m'appelait le nain... entre autres joyeusetés!

La ville engloutie... la légende est intéressante, par ici ou par là, c'est plus ou moins pareil. Je ne suis jamais allée à Douarnenez, mais du coup, ça me donne bien envie. Juste pour voir la sirène.

Par contre, les couleurs en vrai sont carrément mieux, mais je n'arrive pas à modifier le rendu de manière satisfaisante (je me rends compte que mon scanner a du mal avec les bleus, mais je n'ai pas de bon logiciel de retouche...).

Aquarelle sur papier d'Arches. Dim. :10x25cm. 11h. 181012.

Un truc de filles, certes, mais tellement agréable. Le petit thé au soleil avec un bon livre, dans un bon canapé. Haaaaaaaaaaaaaa! De quoi agrémenter la journée du dimanche, où, avouez-le, on s'ennuie parfois profondément... Enfin, c'est un jour de la semaine où on ne sait pas vraiment quoi faire. Ou où on ne veut rien faire. Au choix.

Donc hop, autre idée. Comme on m'a déjà demandé, entre copines avides de lectures sympathiques, ce que je lisais d'intéressant en ce moment, voilà, j'en parlerai aussi ici. 

Vous connaissez un peu mes goûts. Ayant relu encore une fois, je ne compte plus, Orgueil et préjugés, et ayant rêvé encore une fois des bras de Darcy, je me suis replongée dans les classiques anglais, une valeur sûre en quelque sorte. La couverture de Jane Eyre chez Folio (collection pour laquelle j'ai une affection toute particulière, comme pour 10/18) m'a fait de l'oeil, de même que mes souvenirs de l'Affaire Jane Eyre, génial commencement de la sage des Thursday Next de Jasper Fforde.

Du coup, j'ai craqué... et pour l'instant, comme Jane, je ressens atrocement le froid qui commence à arriver. Mais la pauvre vient d'arriver dans une institution pour orphelins après avoir bénéficié largement des rudesses et de la maltraitance de sa tante et son horrible progéniture. A Lowood, pour le petit déjeuner, elle a du porridge parfois brûlé, de l'eau et une galette d'avoine le soir, elle ne peut pas toujours se laver le matin, parce que l'eau gèle (bah oui, ça arrive qaund il fait froid). Mais sinon, elle prie beaucoup. Ha, ça envoie du rêve! Vivement qu'elle grandisse et rencontre Edward Rochester! 

Le pire, c'est quand on sait que l'auteur, Charlotte Brontë, a vécu dans ce genre d'institution, et qu'elle a perdu deux soeurs, devenues tuberculeuses à cause des conditions de vie. Tout n'est donc pas le fruit de son imagination... loin de là! 

Je l'ai déjà lu il y a fort longtemps, mais c'est une redécouverte. J'ai du coup hâte d'être dans mon lit le soir pour avancer dans ma lecture!

Non, hélas, ne vous faites pas de fausse joie, on y est bien rentré, limite on a froid... et ça vient juste de commencer, sniff!

En fait, après avoir pensé mettre du tissu vert en fond de ce dessin qui date de près d'un an (voir ici), en orange, finalement, c'est plus gai (je vous rappelle que l'automne, c'est notamment entre joyeusetés le début de la grisaille, du ciel bas, des trombes d'eau et des araignées énormes dans les jardins, beurk beurk beurk!) et ça nous fait penser qu'on est quand même content de gambader dans les feuilles mortes et de voir toutes ces couleurs chatoyantes.

Et ça claque! Un grand merci à mamounette et ses trésors textiles.