En lisant le dernier Katherine Pancol, les Ecureuils de Central Park sont tristes le lundi, une phrase avait retenu mon attention, parce qu'elle rend complètement absurde la frénésie spéculative et monétaire du monde d'aujourd'hui. "Lorsque l'homme aura coupé le dernier arbre, pollué la dernière goutte d'eau, tué le dernier animal et pêché le dernier poisson, alors il se rendra compte que l'argent n'est pas comestible".
Personnellement, elle me fait méditer sur les priorités et le respect que chacun devrait avoir pour la nature et les autres...
Sinon, pour en revenir au livre, mon préféré reste le premier, les Yeux jaunes des crocodiles. Mais il est mieux que le deuxième, la Valse lente des tortues, où pêle-mêle se retrouvaient du fantastique, du policier, du roman à l'eau de rose, de la narration... enfin bref, ça devenait un peu n'importe quoi. On suit dans cette trilogie les tribulations de Joséphine Cortès, chercheuse au CNRS et spécialiste du Moyen-Age (miam!) et de toute son attachante tribu, à qui il arrive des choses incroyables, drôles ou tragiques.
Aquarelle. Dim.:17x25cm. 5h. 041211.